« Zen mais (très) en colère »
Pour reprendre les termes employés dans une Tribune écrite par un collectif de professeurs de yoga, nous sommes zen, mais (très) en colère. Et pour cause : un arrêté préfectoral pris à Nice, nous empêche d’exercer notre activité… Cette situation pleine d’incompréhension nous invite ainsi à élever nos voix, pour contester cette mesure arbitraire. En colère car la fermeture des salles est intervenue subitement et surtout, sans préavis, ni concertation préalable. En colère car beaucoup sont contraints et forcés de cesser leur activité. En colère car après des mois de confinement, un manque à gagner commence à se faire sentir. Après des mois de confinement, un été mi-figue, mi-raisin et une seconde fermeture, notre activité se trouve de plus en plus menacée. Nous ne souhaitons pas nous plaindre à tort, nous constatons une injustice dans cette décision hâtive et disproportionnée. Depuis des mois, à Nice, à Cannes et à Menton dans les studios où j’enseigne, toutes les mesures ont été respectées à la lettre. Aucune contamination n’a été par ailleurs constatée… Et pourtant… Plus que …